L’architecture de Topager se fonde sur 4 pôles interconnectés : Recherche, Conception, Réalisation et Suivi (ce dernier pôle intégrant le maraîchage, l’animation et l’entretien des sites). L’ensemble de l’équipe est impliqué dans les choix opérationnels : ils se basent sur une vision et une efficience commune, structurée par la mutualisation des savoir-faire et des retours d’expérience.
Les orientations stratégiques sont co-construites par l’ensemble de l’équipe. La gouvernance est partagée et s’appuie sur une intelligence collective : des groupes de travail se réunissent ponctuellement pour faire évoluer les pratiques.
La diversité des parcours respectifs confère une richesse capitale pour la construction de l’entreprise. L’équité passe par le partage des connaissances, la valorisation du travail manuel, l’égalité des genres, origines et orientations, et garantit à tous respect et bienveillance pour évoluer en confiance.
Pour répondre au mieux aux besoins des usagers, nous les impliquons dès que c’est possible dans la conception du projet et le rendons adaptable aux futures évolutions. Nos solutions, low-tech, sont résilientes et pérennes et le soin particulier accordé à la facilité de la maintenance permet de prolonger leur durée de vie.
L’impact écologique lié à la construction est aussi réduit à son minimum. Nous privilégions les matériaux biosourcés et nous développons la filière du réemploi lorsque les projets s’y prêtent. Les approvisionnements sont d’origine locale ou issus de l’économie circulaire. Les déchets de chantier sont valorisés ou recyclés.
Le substrat de toiture représente le plus gros impact carbone de nos projets. Pour le réduire, nous avons créé Faiseurs de Terres avec Halage, une association d’insertion, et Néo Eco, un bureau d’étude spécialisé en économie circulaire. Lauréat d’appels à projets de l’ADEME et de la Région Ile- de France, Faiseurs de Terres produit des technosols et des substrats de toiture à faible impact environnemental en recyclant des terres excavées sur les chantiers.
Notre inspiration se fonde sur le biomimétisme des écosystèmes, en cohérence avec l’environnement de chaque projet. Les sols, bases de nos écosystèmes, sont vivants : la présence de champignons, de micro-organisme et de la macrofaune du sol accompagne le développement des plantes. Le choix des végétaux est adapté à chaque milieu et nous travaillons avec des pépinières locales. La diversification des palettes végétales permet l’adaptation aux changements climatiques. Nous favorisons l’accueil de la biodiversité en installant des refuges pour la faune urbaine.
Pour rendre la ville plus résiliente, les services écosystémiques rendus par le paysage sont maximisés : rétention des eaux pluviales en cas d’orage, rafraîchissement de la ville par évapotranspiration, filtration des pollutions, recyclage des déchets organiques urbains en compost. Nous privilégions également les circuits courts en limitant les transports. Nous favorisons les aménagements partagés pour développer le lien social et l’insertion, vecteurs de bien-être et de santé en milieu urbain. Les aménagements paysagers sont évolutifs au grès des besoins et réversibles selon les changements de pratiques : un jardin partagé ou maraîcher pourra être transformé en jardin refuge de biodiversité.
Topager est issue d’un projet scientifique développé en 2012 sur les toits d’AgroParisTech à Paris : Toit Parisiens Productifs Projet Pilote (T4P). Il a été développé en partenariat avec le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) et l’Institut National de Recherche pour l’Agriculture, d’alimentation et l’Environnement (INRAE). Ce projet a permis d’établir la faisabilité d’une agriculture urbaine en toiture favorable à la biodiversité et insérée dans l’économie circulaire. Nous travaillons depuis avec des scientifiques aussi bien sur des sujets de recherche fondamentale que de recherche appliquée.
Pour transmettre et essaimer, nous diffusons nos connaissances et nos pratiques. Nous travaillons à une végétalisation support de pédagogie. De nombreuses animations à destination des jardiniers amateurs, petits et grands, sont dispensées pour les former à l’agroécologie. L’agriculture urbaine est un puissant levier de sensibilisation au développement durable : redécouverte de la saisonnalité, recyclage des déchets urbains en ressources, observation et accueil de la biodiversité.
Nous nous investissons également auprès des instances représentatives comme l’ADIVET (association des professionnels de la végétalisation du bâtiment), afin de faire évoluer les pratiques de notre métier, toujours en construction. Topager a notamment contribué à la rédaction d’un Guide de Recommandations Techniques pour l’Agriculture Urbaine en Toiture, ainsi qu’un référentiel qualitatif, le Green Roof Score qui permettra aux concepteurs d’un projet urbain d’évaluer les services écosystémiques liés à la végétalisation des toitures.
L’architecture de Topager se fonde sur 4 pôles interconnectés : Recherche, Conception, Réalisation et Suivi (ce dernier pôle intégrant le maraîchage, l’animation et l’entretien des sites). L’ensemble de l’équipe est impliqué dans les choix opérationnels : ils se basent sur une vision et une efficience commune, structurée par la mutualisation des savoir-faire et des retours d’expérience.
Les orientations stratégiques sont co-construites par l’ensemble de l’équipe. La gouvernance est partagée et s’appuie sur une intelligence collective : des groupes de travail se réunissent ponctuellement pour faire évoluer les pratiques.
La diversité des parcours respectifs confère une richesse capitale pour la construction de l’entreprise. L’équité passe par le partage des connaissances, la valorisation du travail manuel, l’égalité des genres, origines et orientations, et garantit à tous respect et bienveillance pour évoluer en confiance.
Pour répondre au mieux aux besoins des usagers, nous les impliquons dès que c’est possible dans la conception du projet et le rendons adaptable aux futures évolutions. Nos solutions, low-tech, sont résilientes et pérennes et le soin particulier accordé à la facilité de la maintenance permet de prolonger leur durée de vie.
L’impact écologique lié à la construction est aussi réduit à son minimum. Nous privilégions les matériaux biosourcés et nous développons la filière du réemploi lorsque les projets s’y prêtent. Les approvisionnements sont d’origine locale ou issus de l’économie circulaire. Les déchets de chantier sont valorisés ou recyclés.
Le substrat de toiture représente le plus gros impact carbone de nos projets. Pour le réduire, nous avons créé Faiseurs de Terres avec Halage, une association d’insertion, et Néo Eco, un bureau d’étude spécialisé en économie circulaire. Lauréat d’appels à projets de l’ADEME et de la Région Ile- de France, Faiseurs de Terres produit des technosols et des substrats de toiture à faible impact environnemental en recyclant des terres excavées sur les chantiers.
Notre inspiration se fonde sur le biomimétisme des écosystèmes, en cohérence avec l’environnement de chaque projet. Les sols, bases de nos écosystèmes, sont vivants : la présence de champignons, de micro-organisme et de la macrofaune du sol accompagne le développement des plantes. Le choix des végétaux est adapté à chaque milieu et nous travaillons avec des pépinières locales. La diversification des palettes végétales permet l’adaptation aux changements climatiques. Nous favorisons l’accueil de la biodiversité en installant des refuges pour la faune urbaine.
Pour rendre la ville plus résiliente, les services écosystémiques rendus par le paysage sont maximisés : rétention des eaux pluviales en cas d’orage, rafraîchissement de la ville par évapotranspiration, filtration des pollutions, recyclage des déchets organiques urbains en compost. Nous privilégions également les circuits courts en limitant les transports. Nous favorisons les aménagements partagés pour développer le lien social et l’insertion, vecteurs de bien-être et de santé en milieu urbain. Les aménagements paysagers sont évolutifs au grès des besoins et réversibles selon les changements de pratiques : un jardin partagé ou maraîcher pourra être transformé en jardin refuge de biodiversité.
Topager est issue d’un projet scientifique développé en 2012 sur les toits d’AgroParisTech à Paris : Toit Parisiens Productifs Projet Pilote (T4P). Il a été développé en partenariat avec le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) et l’Institut National de Recherche pour l’Agriculture, d’alimentation et l’Environnement (INRAE). Ce projet a permis d’établir la faisabilité d’une agriculture urbaine en toiture favorable à la biodiversité et insérée dans l’économie circulaire. Nous travaillons depuis avec des scientifiques aussi bien sur des sujets de recherche fondamentale que de recherche appliquée.
Pour transmettre et essaimer, nous diffusons nos connaissances et nos pratiques. Nous travaillons à une végétalisation support de pédagogie. De nombreuses animations à destination des jardiniers amateurs, petits et grands, sont dispensées pour les former à l’agroécologie. L’agriculture urbaine est un puissant levier de sensibilisation au développement durable : redécouverte de la saisonnalité, recyclage des déchets urbains en ressources, observation et accueil de la biodiversité.
Nous nous investissons également auprès des instances représentatives comme l’ADIVET (association des professionnels de la végétalisation du bâtiment), afin de faire évoluer les pratiques de notre métier, toujours en construction. Topager a notamment contribué à la rédaction d’un Guide de Recommandations Techniques pour l’Agriculture Urbaine en Toiture, ainsi qu’un référentiel qualitatif, le Green Roof Score qui permettra aux concepteurs d’un projet urbain d’évaluer les services écosystémiques liés à la végétalisation des toitures.